Le projet littéraire qui se cachait derrière le séjour d’Emma Becker en maison close s’appelle « La Maison ». L’auteure s’est fait enrôler en tant que travailleuse de sexe dans deux bordels de Berlin, la capitale allemande après avoir publié deux romans à succès. Ce qui est intéressant dans son cas, c’est qu’elle l’a fait volontairement, par curiosité mais surtout par « amour pour les femmes ». L'ouvrage est une écriture libre empreint d’humour et de légèreté . Il fait le récit de deux années et demi qu’a passé son auteure à se vendre sous le pseudonyme de Justine. Qui sont ces femmes qui se vendent ? Comment en viennent-elles à faire ce m é tier ? Comment le vivent-elles ? Est-ce que ça leur arrive de jouir… quand m ê me ? La Maison répond à ces questions avec une savante r é flexion sur la sexualit é f é minine au contact de masculinit é s plurielles : du jeune p è re de famille qui vient verser son bonheur dans les entrelacs é rotiques d ’ ...
Bienvenue dans mes délires ! Ici, je traite et maltraite l'actualité...